Réorganiser le programme de micro-crédit
Par Maëlle Maitrallain
Décembre 2009, des idéaux encore plein les poches, la plus vieille volontaire (32 ans, sic! C'est Bernard qui l'a dit!) débarque dans la cour de l'école d'Alouette. Sa première mission : aider Angeline, dernière recrutée de la fondation, à réorganiser le programme de micro-crédit.
Son cœur se serre lorsqu'elles partent toutes les deux à la rencontre des premiers bénéficiaires du bidonville. Déjà fortement touchés par les foudres climatiques, ils sont également les premières victimes de la crise financière. Les prix de leurs aliments de base ont explosé (plus 16 % pour le riz en 2009).
Beaucoup d'entre eux peinent à rembourser leurs échéances de prêt. Pourtant ils les accueillent avec le sourire. Ils tiennent à respecter leurs engagements et leur proposent eux-mêmes des solutions. Afin de les encourager, la fondation va améliorer son procédé. Elle leur restituera par exemple une partie des intérêts perçus en fin de prêt.
Son cœur se serre lorsqu'elles partent toutes les deux à la rencontre des premiers bénéficiaires du bidonville. Déjà fortement touchés par les foudres climatiques, ils sont également les premières victimes de la crise financière. Les prix de leurs aliments de base ont explosé (plus 16 % pour le riz en 2009).
Beaucoup d'entre eux peinent à rembourser leurs échéances de prêt. Pourtant ils les accueillent avec le sourire. Ils tiennent à respecter leurs engagements et leur proposent eux-mêmes des solutions. Afin de les encourager, la fondation va améliorer son procédé. Elle leur restituera par exemple une partie des intérêts perçus en fin de prêt.